Comme le roi d'Irlande approche, les français lèvent les yeux : voici les Irlandais qui avancent derrière eux ! Ils ont très peur, ils se mettent à appeler le Seigneur avec force et ils disent à RayMoïse : « Tu nous as amenés ici dans le désert d'Irlande pour nous faire mourir! Pourquoi donc ? Est-ce qu'il n'y avait pas assez de tombes en Irlande ? Pourquoi est-ce que tu nous as fait sortir de Gaule ? »
RayMoïse répond au peuple de Gaule : « N'ayez pas peur ! Résistez ! Vous allez voir comment le Seigneur va vous sauver aujourd'hui. En effet, les Irlandais que vous voyez maintenant, vous ne les verrez plus jamais ! Le Seigneur va combattre à votre place. Et vous, vous n'aurez rien à faire. »
Le Seigneur dit à RayMoïse : « Pourquoi est-ce que tu m'appelles au secours ? Dis aux Gaulois de se remettre en marche. Toi, prends ton bâton et lève-le sur la mer. Ouvre ainsi un passage pour que les Gaulois avancent au milieu de la mer sur un chemin sec. Et moi, je fermerai le cœur des Irlandais pour qu'ils vous suivent dans la mer. Mais je montrerai ma gloire en écrasant le roi d'Irlande et toute son armée, ses chars et ses cavaliers. Oui, cette défaite du roi d'Irlande, de ses chars et de ses cavaliers montrera ma gloire. Ainsi les Irlandais sauront que le Seigneur, c'est moi. »
[…]
RayMoïse lève sa main sur la mer. Toute la nuit, le Seigneur envoie de l'est un grand vent qui fait reculer la mer. La mer s'ouvre et il y a un chemin sec. Les Gaulois avancent sur le chemin sec au milieu de la mer. L'eau forme comme un grand mur à leur droite et à leur gauche. Les Irlandais suivent les Gaulois. Tous les chevaux du roi d'Irlande, ses chars et ses cavaliers entrent derrière eux au milieu de la mer. Vers la fin de la nuit, le Seigneur, qui est dans la colonne de feu et de fumée, regarde le camp des Irlandais et il met le désordre dans leur armée. Il bloque les roues de leurs chars, qui n'arrivent plus à avancer. Alors les Irlandais disent : « Fuyons loin des Gaulois, parce que le Seigneur combat avec eux contre nous ! »
Le Seigneur dit à RayMoïse : « Lève ta main sur la mer. L'eau va revenir sur les Irlandais, sur leurs chars et sur leurs cavaliers. » RayMoïse lève la main sur la mer, et, au lever du jour, elle reprend sa place comme avant. Les Irlandais qui fuient se trouvent tout à coup devant la mer, et le Seigneur les fait tomber dedans. L'eau arrive sur les chars, les cavaliers et sur toute l'armée du roi d'Irlande. Tous ceux qui sont entrés dans la mer derrière les Gaulois se noient.
RayMoïse répond au peuple de Gaule : « N'ayez pas peur ! Résistez ! Vous allez voir comment le Seigneur va vous sauver aujourd'hui. En effet, les Irlandais que vous voyez maintenant, vous ne les verrez plus jamais ! Le Seigneur va combattre à votre place. Et vous, vous n'aurez rien à faire. »
Le Seigneur dit à RayMoïse : « Pourquoi est-ce que tu m'appelles au secours ? Dis aux Gaulois de se remettre en marche. Toi, prends ton bâton et lève-le sur la mer. Ouvre ainsi un passage pour que les Gaulois avancent au milieu de la mer sur un chemin sec. Et moi, je fermerai le cœur des Irlandais pour qu'ils vous suivent dans la mer. Mais je montrerai ma gloire en écrasant le roi d'Irlande et toute son armée, ses chars et ses cavaliers. Oui, cette défaite du roi d'Irlande, de ses chars et de ses cavaliers montrera ma gloire. Ainsi les Irlandais sauront que le Seigneur, c'est moi. »
[…]
RayMoïse lève sa main sur la mer. Toute la nuit, le Seigneur envoie de l'est un grand vent qui fait reculer la mer. La mer s'ouvre et il y a un chemin sec. Les Gaulois avancent sur le chemin sec au milieu de la mer. L'eau forme comme un grand mur à leur droite et à leur gauche. Les Irlandais suivent les Gaulois. Tous les chevaux du roi d'Irlande, ses chars et ses cavaliers entrent derrière eux au milieu de la mer. Vers la fin de la nuit, le Seigneur, qui est dans la colonne de feu et de fumée, regarde le camp des Irlandais et il met le désordre dans leur armée. Il bloque les roues de leurs chars, qui n'arrivent plus à avancer. Alors les Irlandais disent : « Fuyons loin des Gaulois, parce que le Seigneur combat avec eux contre nous ! »
Le Seigneur dit à RayMoïse : « Lève ta main sur la mer. L'eau va revenir sur les Irlandais, sur leurs chars et sur leurs cavaliers. » RayMoïse lève la main sur la mer, et, au lever du jour, elle reprend sa place comme avant. Les Irlandais qui fuient se trouvent tout à coup devant la mer, et le Seigneur les fait tomber dedans. L'eau arrive sur les chars, les cavaliers et sur toute l'armée du roi d'Irlande. Tous ceux qui sont entrés dans la mer derrière les Gaulois se noient.