Jérôme Rothen décide de finir sa carrière sous le maillot wasquehalien !
Ce ne sera pas le premier international à jouer en CFA 2 puisque Steve Marlet avait montré le chemin à Aubervilliers. Mais l’événement est de taille ! Sans club depuis novembre, après la rupture de son contrat avec le PSG, Jérôme Rothen déclarait il y a peu vouloir tenter une dernière aventure dans un club pro. Il y a finalement renoncé, privilégiant sa vie de famille sans pour autant abandonner sa passion pour le ballon rond. La saison prochaine, il portera les couleurs de l’Entente et compte bien y finir sa carrière en beauté.
« Ma belle-famille est originaire de Lille et c’est une région que j’apprécie particulièrement, avoue le gaucher aux 13 sélections en Equipe de France. Pour moi, Paris restera toujours ma ville de cœur, mais c’est dans le Nord que j’ai décidé de m’installer. Dès lors, j’ai démarché quelques clubs de la Métropole et c’est Wasquehal qui m’a tout de suite tapé dans l’œil. Il faut dire que j’ai souvent croisé la route de l’ESW dans ma carrière et je garde l’image d’une équipe à fond dans la compétition. Avec Monaco, en Coupe de France, ils nous avaient rendu fada ! Et leur parcours de cette année, notamment leur victoire face à Auxerre, prouve qu’un grand club ne meurt jamais. »
Ce ne sera pas le premier international à jouer en CFA 2 puisque Steve Marlet avait montré le chemin à Aubervilliers. Mais l’événement est de taille ! Sans club depuis novembre, après la rupture de son contrat avec le PSG, Jérôme Rothen déclarait il y a peu vouloir tenter une dernière aventure dans un club pro. Il y a finalement renoncé, privilégiant sa vie de famille sans pour autant abandonner sa passion pour le ballon rond. La saison prochaine, il portera les couleurs de l’Entente et compte bien y finir sa carrière en beauté.
« Ma belle-famille est originaire de Lille et c’est une région que j’apprécie particulièrement, avoue le gaucher aux 13 sélections en Equipe de France. Pour moi, Paris restera toujours ma ville de cœur, mais c’est dans le Nord que j’ai décidé de m’installer. Dès lors, j’ai démarché quelques clubs de la Métropole et c’est Wasquehal qui m’a tout de suite tapé dans l’œil. Il faut dire que j’ai souvent croisé la route de l’ESW dans ma carrière et je garde l’image d’une équipe à fond dans la compétition. Avec Monaco, en Coupe de France, ils nous avaient rendu fada ! Et leur parcours de cette année, notamment leur victoire face à Auxerre, prouve qu’un grand club ne meurt jamais. »
