Les investisseurs et Lens, une histoire de jours ? Comme annoncé à plusieurs reprises, les deux potentiels investisseurs ont jusqu’au 31 mars pour formuler une offre de rachat à l’actionnaire actuel, le Crédit Agricole.
Aujourd’hui, cependant, « aucun des deux n’a prononcé la moindre offre, mais aucun des deux ne s’est désisté après les précédents audits », dixit Luc Dayan, rencontré ce mercredi après-midi. Le président lensois précise que si d’ici une quinzaine de jour, il n’y a aucune avancée sur le dossier, « le CA établira une stratégie intermédiaire avec, peut-être, une ouverture du capital ».
Néanmoins, l’homme qui est à la tête du club depuis juillet dernier se veut optimiste. « Je connais bien ces deux groupes », répète-t-il. Si aucun nom ne filtre, il assure que parmi les deux prétendants à la reprise du RCL ne figure « aucun fonds de pension » comme laissé entendre il y a quelques jours dans les journaux. Autre certitude, leurs reins semblent assez solides pour mener à bien leur projet. Cela faisait partie des deux problématiques liées à la revente du club. « Il fallait être certain que l’actionnaire ait les fonds adaptés à son projet », confirme Luc Dayan. La seconde et non des moindres, « la difficulté de définir la valeur du RCL ».
Et si reprise il y a, le CA se veut très clair, « l’argent récupéré n’est pas la priorité de la banque. Si nécessaire, elle restera même dans le capital du club », déclare le président artésien.
Dans tous les cas, il est à l’heure actuelle « important » que le RCL soit repris, car « quand l’actionnaire actuel n’a pas vocation à s’inscrire durablement dans un club, il y a un problème de dynamisme ». Luc Dayan reste confiant quant à l’avenir et sur une remontée prochaine de Lens parmi l’élite. « Il est suffisamment fort pour remonter en Ligue 1. » Le fruit d’un travail de longue haleine et d’un actionnaire, le CA, qui aura sauvé le RC Lens du « dépôt de bilan. »
Aujourd’hui, cependant, « aucun des deux n’a prononcé la moindre offre, mais aucun des deux ne s’est désisté après les précédents audits », dixit Luc Dayan, rencontré ce mercredi après-midi. Le président lensois précise que si d’ici une quinzaine de jour, il n’y a aucune avancée sur le dossier, « le CA établira une stratégie intermédiaire avec, peut-être, une ouverture du capital ».
Néanmoins, l’homme qui est à la tête du club depuis juillet dernier se veut optimiste. « Je connais bien ces deux groupes », répète-t-il. Si aucun nom ne filtre, il assure que parmi les deux prétendants à la reprise du RCL ne figure « aucun fonds de pension » comme laissé entendre il y a quelques jours dans les journaux. Autre certitude, leurs reins semblent assez solides pour mener à bien leur projet. Cela faisait partie des deux problématiques liées à la revente du club. « Il fallait être certain que l’actionnaire ait les fonds adaptés à son projet », confirme Luc Dayan. La seconde et non des moindres, « la difficulté de définir la valeur du RCL ».
Et si reprise il y a, le CA se veut très clair, « l’argent récupéré n’est pas la priorité de la banque. Si nécessaire, elle restera même dans le capital du club », déclare le président artésien.
Dans tous les cas, il est à l’heure actuelle « important » que le RCL soit repris, car « quand l’actionnaire actuel n’a pas vocation à s’inscrire durablement dans un club, il y a un problème de dynamisme ». Luc Dayan reste confiant quant à l’avenir et sur une remontée prochaine de Lens parmi l’élite. « Il est suffisamment fort pour remonter en Ligue 1. » Le fruit d’un travail de longue haleine et d’un actionnaire, le CA, qui aura sauvé le RC Lens du « dépôt de bilan. »