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Nkoudou : Une fête chez lui a failli tourner au drame
Georges-Kevin Nkoudou n’est pas prêt de refaire une soirée chez lui. La fête que le milieu offensif de l’Olympique de Marseille avait organisé à son domicile dans la nuit de vendredi à samedi a en effet failli tourner au drame, relate La Provence ce samedi. La faute à l’un de ses amis et invités à la soirée, Loris Lacemon. Le jeune joueur de 19 ans de la réserve du FC Nantes (cinq minutes de jeu cette année en CFA) n’a pas trouvé mieux que d’ouvrir la porte aux agents de la BAC avec un fusil d’assaut à la main. Il a même fait mieux en braquant l’arme sur les policiers. L’arme que l’ancien partenaire de Nkoudou au centre de formation des Canaris a braquée sur les fonctionnaires de la BAC était factice, mais ça, ils étaient très peu à le savoir. Et la fête aurait pu se terminer dans un bain de sang si « GK » n’était pas très vite intervenu en hurlant que le fusil d’assaut en question n’était pas un vrai.
Nkoudou : sept armes retrouvées chez lui
Le jeune joueur de l’OM peut aussi remercier les agents de ne pas avoir fait feu immédiatement en se retrouvant face à face avec cet homme armé. « La situation portait vraiment à confusion et heureusement que les collègues ont eu du sang-froid. Ils auraient pu tirer puisqu’ils étaient en légitime défense », insiste justement une source proche du dossier dans La Provence. Un quiproquo qui aurait pu tourner d’autant plus facilement au drame qu’à l’origine, c’est parce qu’ils étaient persuadés d’être en train d’assister depuis leurs fenêtres à un braquage dans la maison de Nkoudou en voyant tous ses hommes armés que les voisins de l’ancien Nantais avaient appelé la police. Trois fusils d’assaut, en plus de celui de Lacemon, et trois pistolets automatiques, tous de type air-soft, ont été retrouvés dans la maison du footballeur, dans le quartier Saint-Anne, 8eme arrondissement de Marseille. Vu la panique du voisinage de Nkoudou, c’est la BAC en personne qui a pris le dossier en charge. La fusillade a été évitée de quelques secondes, mais c’est un miracle.
Nkoudou : Une fête chez lui a failli tourner au drame
Georges-Kevin Nkoudou n’est pas prêt de refaire une soirée chez lui. La fête que le milieu offensif de l’Olympique de Marseille avait organisé à son domicile dans la nuit de vendredi à samedi a en effet failli tourner au drame, relate La Provence ce samedi. La faute à l’un de ses amis et invités à la soirée, Loris Lacemon. Le jeune joueur de 19 ans de la réserve du FC Nantes (cinq minutes de jeu cette année en CFA) n’a pas trouvé mieux que d’ouvrir la porte aux agents de la BAC avec un fusil d’assaut à la main. Il a même fait mieux en braquant l’arme sur les policiers. L’arme que l’ancien partenaire de Nkoudou au centre de formation des Canaris a braquée sur les fonctionnaires de la BAC était factice, mais ça, ils étaient très peu à le savoir. Et la fête aurait pu se terminer dans un bain de sang si « GK » n’était pas très vite intervenu en hurlant que le fusil d’assaut en question n’était pas un vrai.
Nkoudou : sept armes retrouvées chez lui
Le jeune joueur de l’OM peut aussi remercier les agents de ne pas avoir fait feu immédiatement en se retrouvant face à face avec cet homme armé. « La situation portait vraiment à confusion et heureusement que les collègues ont eu du sang-froid. Ils auraient pu tirer puisqu’ils étaient en légitime défense », insiste justement une source proche du dossier dans La Provence. Un quiproquo qui aurait pu tourner d’autant plus facilement au drame qu’à l’origine, c’est parce qu’ils étaient persuadés d’être en train d’assister depuis leurs fenêtres à un braquage dans la maison de Nkoudou en voyant tous ses hommes armés que les voisins de l’ancien Nantais avaient appelé la police. Trois fusils d’assaut, en plus de celui de Lacemon, et trois pistolets automatiques, tous de type air-soft, ont été retrouvés dans la maison du footballeur, dans le quartier Saint-Anne, 8eme arrondissement de Marseille. Vu la panique du voisinage de Nkoudou, c’est la BAC en personne qui a pris le dossier en charge. La fusillade a été évitée de quelques secondes, mais c’est un miracle.
