Après l'huile de ricin , on a sucé du caramel pour cette deuxième journée des huitièmes.
Certes , on peut critiquer , mais quand c'est bon ,il ne faut hésiter à le crier.
Comme le disait Celtill, l'Italie joue en équipe, ils honorent le maillot qu'ils portent, vivent intensément leur hymne, disputent chaque ballon pendant tout un match, c'est plus facile de faire tomber un obstacle , quand tous poussent en même temps et dans le même sens.
A part une dizaine de minutes en seconde période , le match fut transalpin, un football ciselé, un investissement de tous les instants, de la concentration à tous les niveaux , sur les replacements, sur les relances, sur les récupérations de balles, sur la moindre passe en retrait, sur chaque contact du pied sur le ballon, du très grand football !
C'est la fin d'un règne pour l'Espagne, deuxième échec consécutif dans une phase finale, sans rien montrer, je suis un peu peiné de voir L'immense Inesta se trainer sur le terrain en première période , se planquer en seconde, il n'y arrive plus, il aurait aimé être ailleurs, lui qui nous a si souvent enchanté.
Merci messieurs !
Certes , on peut critiquer , mais quand c'est bon ,il ne faut hésiter à le crier.
Comme le disait Celtill, l'Italie joue en équipe, ils honorent le maillot qu'ils portent, vivent intensément leur hymne, disputent chaque ballon pendant tout un match, c'est plus facile de faire tomber un obstacle , quand tous poussent en même temps et dans le même sens.
A part une dizaine de minutes en seconde période , le match fut transalpin, un football ciselé, un investissement de tous les instants, de la concentration à tous les niveaux , sur les replacements, sur les relances, sur les récupérations de balles, sur la moindre passe en retrait, sur chaque contact du pied sur le ballon, du très grand football !
C'est la fin d'un règne pour l'Espagne, deuxième échec consécutif dans une phase finale, sans rien montrer, je suis un peu peiné de voir L'immense Inesta se trainer sur le terrain en première période , se planquer en seconde, il n'y arrive plus, il aurait aimé être ailleurs, lui qui nous a si souvent enchanté.
Merci messieurs !