Le spectacle.
Grande rencontre entre les deux meilleures équipes du groupe H, match sans temps mort, plaisant avec de nombreuses occasions et joué dans un bon esprit.
Le jeu du chat et de la souris.
Ambiance étrange dans cette rencontre durant laquelle en première période , les turcs jouaient pour ne pas en prendre, puis changement en seconde période où visiblement nos adversaires cherchaient à nous en mettre un , ce qu'ils ont réussi à faire.
J'ai eu la sensation que Deschamps prenait une leçon tactique et que la meilleure de deux équipes sur la pelouse n'était pas celle qu'on attendait.
Le sauveur.
Giroud une nouvelle fois est venu nous donner l'espoir d'une qualification directe, sur une attaque de balle à l'anglaise, avant l'égalisation méritée , mais hélas ,attendue des turcs, sur un coup de pied arrêté fort bien tiré, suite à une faute inutile de Griezmann.
La règle de la main dans la surface.
Comme le disait Boblele il y a peu, plus personne ne s'y retrouve, VAR ou pas VAR, 5ème arbitre ou pas, chaque directeur de jeu y va de son appréciation, fait de jeu sans conséquence ,puisque Giroud marque sur le corner obtenu suite à cette action.
Conclusion
Je ressors de ce match frustré, il fallait effacer la honte de l'aller et obtenir un meilleur résultat pour finir en tête du groupe en cas d'égalité.
Même si nous avons bien joué, j'ai le sentiment que nous ne pouvions obtenir mieux que le partage des points, par manque de mouvements devant , une incapacité à accélérer dans les 20 derniers mètres, chose que nous avons ressenti aussi face à l'Islande.
Nous encaissons un but impardonnable, bien que prévenu, il ne fallait absolument pas faire faute à la 81ème minute, il fallait mettre le buteur en position de hors jeu et que Mandanda ne commette pas une énorme faute de placement sur une tête, certes bien placée , mais molle et ratée !
Sur ce match , la France s'est faite bougée par un adversaire talentueux , courageux, la plupart des joueurs s'est allongé au sol de fatigue au coup de sifflet final.
Nous avons pris, nous les champions, une leçon de football de haut niveau, ce n'est pas banal ça !
Grande rencontre entre les deux meilleures équipes du groupe H, match sans temps mort, plaisant avec de nombreuses occasions et joué dans un bon esprit.
Le jeu du chat et de la souris.
Ambiance étrange dans cette rencontre durant laquelle en première période , les turcs jouaient pour ne pas en prendre, puis changement en seconde période où visiblement nos adversaires cherchaient à nous en mettre un , ce qu'ils ont réussi à faire.
J'ai eu la sensation que Deschamps prenait une leçon tactique et que la meilleure de deux équipes sur la pelouse n'était pas celle qu'on attendait.
Le sauveur.
Giroud une nouvelle fois est venu nous donner l'espoir d'une qualification directe, sur une attaque de balle à l'anglaise, avant l'égalisation méritée , mais hélas ,attendue des turcs, sur un coup de pied arrêté fort bien tiré, suite à une faute inutile de Griezmann.
La règle de la main dans la surface.
Comme le disait Boblele il y a peu, plus personne ne s'y retrouve, VAR ou pas VAR, 5ème arbitre ou pas, chaque directeur de jeu y va de son appréciation, fait de jeu sans conséquence ,puisque Giroud marque sur le corner obtenu suite à cette action.
Conclusion
Je ressors de ce match frustré, il fallait effacer la honte de l'aller et obtenir un meilleur résultat pour finir en tête du groupe en cas d'égalité.
Même si nous avons bien joué, j'ai le sentiment que nous ne pouvions obtenir mieux que le partage des points, par manque de mouvements devant , une incapacité à accélérer dans les 20 derniers mètres, chose que nous avons ressenti aussi face à l'Islande.
Nous encaissons un but impardonnable, bien que prévenu, il ne fallait absolument pas faire faute à la 81ème minute, il fallait mettre le buteur en position de hors jeu et que Mandanda ne commette pas une énorme faute de placement sur une tête, certes bien placée , mais molle et ratée !
Sur ce match , la France s'est faite bougée par un adversaire talentueux , courageux, la plupart des joueurs s'est allongé au sol de fatigue au coup de sifflet final.
Nous avons pris, nous les champions, une leçon de football de haut niveau, ce n'est pas banal ça !