À quelques semaines de la Coupe du monde en Afrique du Sud, le côté gauche de l’équipe de France de football cherche toujours preneur. Entre un Thierry Henry en manque de temps de jeu, un Franck Ribéry mécontent de son sort à droite et un Florent Malouda qui brille de mille feux à Chelsea, on n’aimerait pas être à la place de Raymond Domenech à l’heure du choix. D’ailleurs, le sélectionneur national pourrait bien voir s’offrir à lui une nouvelle option pour le poste de milieu offensif gauche.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cette piste est pour le moins étonnante. Dans un entretien accordé au quotidien brésilien Jornal da Tarde, l’un des cadres des Girondins de Bordeaux Wendel (27 ans, ) a déclaré qu’il souhaitait défendre les couleurs de la France dans un avenir plus ou moins proche ! « Pour cette Coupe du monde, je vois qu’il ne reste que deux places à prendre au Brésil : l’une disputée entre Julio Baptista et Ronaldinho et l’autre pour le poste de latéral gauche. Les portes sont donc fermées pour moi », a-t-il expliqué avant d’ouvrir la porte aux Bleus. « Personne ne m’a jamais parlé de jouer pour la France, mais on ne sait jamais, qui sait ? »
L’ancien pensionnaire de Santos a tenu à expliquer cette déclaration retentissante. « C’est ma quatrième année ici. Ma fille est née dans ce pays. Cela fait un an que je ne vais plus au Brésil. J’ai passé mes vacances d’été ici à Bordeaux. En décembre, je n’ai pas été non plus au Brésil. Je suis parfaitement adapté, j’ai beaucoup d’amis français. Aujourd’hui, je dirais que je suis presque un Bordelais, comme on dit ici », a-t-il confié.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cette piste est pour le moins étonnante. Dans un entretien accordé au quotidien brésilien Jornal da Tarde, l’un des cadres des Girondins de Bordeaux Wendel (27 ans, ) a déclaré qu’il souhaitait défendre les couleurs de la France dans un avenir plus ou moins proche ! « Pour cette Coupe du monde, je vois qu’il ne reste que deux places à prendre au Brésil : l’une disputée entre Julio Baptista et Ronaldinho et l’autre pour le poste de latéral gauche. Les portes sont donc fermées pour moi », a-t-il expliqué avant d’ouvrir la porte aux Bleus. « Personne ne m’a jamais parlé de jouer pour la France, mais on ne sait jamais, qui sait ? »
L’ancien pensionnaire de Santos a tenu à expliquer cette déclaration retentissante. « C’est ma quatrième année ici. Ma fille est née dans ce pays. Cela fait un an que je ne vais plus au Brésil. J’ai passé mes vacances d’été ici à Bordeaux. En décembre, je n’ai pas été non plus au Brésil. Je suis parfaitement adapté, j’ai beaucoup d’amis français. Aujourd’hui, je dirais que je suis presque un Bordelais, comme on dit ici », a-t-il confié.