Et de six pour Marseille !
C'était le match piège, celui que l'on attendait, où l'on imaginait Marseille se prendre les pieds dans le tapis en entrant sur le terrain, trop sûr , trop confiant, trop angoissé.
Victoire tranquille , après un renversement de situation face à un adversaire que je considère comme le Rennes du sud-ouest avec des hauts insoupçonnables et des dépressions inimaginables.
Un jeu marseillais plaisant, beaucoup de courage et une volonté de ne rien lâcher.
On retrouve de la confiance chez les joueurs à l'image de Payet qui retrouve son niveau de 2016.
L’entraîneur André Villas-Boas a su composer un groupe, qui en a fait rire certains au début, qu'aujourd'hui on craint.
Attention aux deux prochains matchs, beaucoup plus faciles sur le papier donc piégeux !
C'était le match piège, celui que l'on attendait, où l'on imaginait Marseille se prendre les pieds dans le tapis en entrant sur le terrain, trop sûr , trop confiant, trop angoissé.
Victoire tranquille , après un renversement de situation face à un adversaire que je considère comme le Rennes du sud-ouest avec des hauts insoupçonnables et des dépressions inimaginables.
Un jeu marseillais plaisant, beaucoup de courage et une volonté de ne rien lâcher.
On retrouve de la confiance chez les joueurs à l'image de Payet qui retrouve son niveau de 2016.
L’entraîneur André Villas-Boas a su composer un groupe, qui en a fait rire certains au début, qu'aujourd'hui on craint.
Attention aux deux prochains matchs, beaucoup plus faciles sur le papier donc piégeux !