Jean-Michel Aulas (président de l'Olympique Lyonnais)
Je pense qu'il faut laisser la possibilité de parler avec les arbitres. Ce sont des hommes. A partir du moment où l'on ne veut pas de la vidéo, il faut que l'arbitre soit maître de lui. Maître de lui, ça veut dire qu'il doit pouvoir parler avec toutes les personnes qui ont des choses à dire. Maintenant, il faut s'exprimer avec élégance et sérénité, ce qui a été le cas au Paris Saint-Germain. Je tiens à redire que je ne suis pas allé dans le vestiaire des arbitres (le 20 septembre à la mi-temps de PSG-OL 1-1 ndlr). J'ai été convoqué et cela a dû durer dix-sept secondes. Je vais toujours voir les arbitres pour les accueillir à Lyon et à la fin du match quelque soit le résultat. Cela fait 22 ans que je suis président de l'OL et je ne suis jamais allé dans un vestiaire d'arbitre à la mi-temps. J'ai été convoqué, cela a duré peu de temps mais ce n'était pas de ma propre initiative mais celle de l'arbitre.
Je pense qu'il faut laisser la possibilité de parler avec les arbitres. Ce sont des hommes. A partir du moment où l'on ne veut pas de la vidéo, il faut que l'arbitre soit maître de lui. Maître de lui, ça veut dire qu'il doit pouvoir parler avec toutes les personnes qui ont des choses à dire. Maintenant, il faut s'exprimer avec élégance et sérénité, ce qui a été le cas au Paris Saint-Germain. Je tiens à redire que je ne suis pas allé dans le vestiaire des arbitres (le 20 septembre à la mi-temps de PSG-OL 1-1 ndlr). J'ai été convoqué et cela a dû durer dix-sept secondes. Je vais toujours voir les arbitres pour les accueillir à Lyon et à la fin du match quelque soit le résultat. Cela fait 22 ans que je suis président de l'OL et je ne suis jamais allé dans un vestiaire d'arbitre à la mi-temps. J'ai été convoqué, cela a duré peu de temps mais ce n'était pas de ma propre initiative mais celle de l'arbitre.