« Chaque expérience se retrouve dans ce que tu veux transmettre. Ma période bastiaise n’échappe pas à cette règle. Le style de Fred Hantz et l’environnement bastiais en général ont enrichi ma culture. Cela a apporté une autre dimension à mon panel personnel. Parce que je n’avais joué dans un club du sud et baigné dans ce contexte latin, si prononcé à Bastia. Le Sporting dégage une force que je n’avais pas rencontrée dans aucun de mes autres clubs. La pression autour d’un match à Furiani est différente. J’ai adoré jouer à Armand-Cesari pour cette ferveur, ce chauvinisme, cet élan populaire intergénérationnel qui fait que tu sens toute la ville, tout un peuple même, derrière toi. Ça te donne envie de faire de ce stade une citadelle imprenable. Franchement, j’ai adoré défendre les couleurs de Bastia ! »
« Un club de foot doit avoir une identité sociale et culturelle. Il est nécessaire d’avoir des joueurs formés au club, pour le représenter, l’incarner. Mais il faut les associer à des gars venus de l’extérieur, capables de faire la différence et d’apporter leur expérience. Pour cela, il faut qu’ils apprennent les codes du club, de la ville, de la région. C’est une leçon que j’ai retenue de mon parcours de joueur et je m’en sers aujourd’hui à Lorient. »
« A mon niveau, tout ce qui a été dit par les dirigeants a été fait. Les engagements que nous avions pris réciproquement ont été respectés. [...] Mais ce qu’il s’est passé ensuite est catastrophique. Et leur responsabilité est bien sûr engagée. Le club avait besoin d’être mieux structuré, d’être géré avec plus de rigueur à en juger par le déficit accumulé. »
« Le chant ‘Ssu Cantu’ me plaît beaucoup. Je l’ai appris quand je suis arrivé et il ne m’a plus quitté depuis. Je le chante à mon fils. Il a deux ans et demi et c’est notre petit rituel du soir. J’attaque et il reprend avec moi. C’est notre petite passerelle quotidienne avec la Corse ! »
Merci à Michael Landreau qui, après Pierrick Hiard, est le deuxième gardien breton a avoir défendu de très belle manière les couleurs du Sporting.
« Un club de foot doit avoir une identité sociale et culturelle. Il est nécessaire d’avoir des joueurs formés au club, pour le représenter, l’incarner. Mais il faut les associer à des gars venus de l’extérieur, capables de faire la différence et d’apporter leur expérience. Pour cela, il faut qu’ils apprennent les codes du club, de la ville, de la région. C’est une leçon que j’ai retenue de mon parcours de joueur et je m’en sers aujourd’hui à Lorient. »
« A mon niveau, tout ce qui a été dit par les dirigeants a été fait. Les engagements que nous avions pris réciproquement ont été respectés. [...] Mais ce qu’il s’est passé ensuite est catastrophique. Et leur responsabilité est bien sûr engagée. Le club avait besoin d’être mieux structuré, d’être géré avec plus de rigueur à en juger par le déficit accumulé. »
« Le chant ‘Ssu Cantu’ me plaît beaucoup. Je l’ai appris quand je suis arrivé et il ne m’a plus quitté depuis. Je le chante à mon fils. Il a deux ans et demi et c’est notre petit rituel du soir. J’attaque et il reprend avec moi. C’est notre petite passerelle quotidienne avec la Corse ! »
Merci à Michael Landreau qui, après Pierrick Hiard, est le deuxième gardien breton a avoir défendu de très belle manière les couleurs du Sporting.
