On dit que l'équipe de France avec Deschamps est ennuyeuse, sans lui , elle l'est aussi.
Une première période qui s'est déroulée dans une douce somnolence contagieuse, nous sommes retombés dans nos travers, sans imagination, absence de mouvement, retour systématique en arrière, bref on porte ceinture et bretelles et tant pis pour le spectacle.
Un retour de vestiaire plus spectaculaire avec un tour de magie de Benzéma qui passe en revue l'effectif défensif du Danemark et claque un but sur une action que lui seul peut transformer en but.
C'est ensuite une succession de désertions et d'abandons de poste de la part de Lucas Hernandez et William Saliba, mauvais alignements pour le premier et lâchages du marquage pour le deuxième.
Défaite non contestable, inutile de se cacher derrière les blessures en cours de match ou le poteau de kanté, à ce niveau ne bien jouer qu'une vingtaine de minutes ne suffit pas.
On pourrait aussi évoquer le calendrier, mais on ne serait plus dans le football , mais dans le business .
Une première période qui s'est déroulée dans une douce somnolence contagieuse, nous sommes retombés dans nos travers, sans imagination, absence de mouvement, retour systématique en arrière, bref on porte ceinture et bretelles et tant pis pour le spectacle.
Un retour de vestiaire plus spectaculaire avec un tour de magie de Benzéma qui passe en revue l'effectif défensif du Danemark et claque un but sur une action que lui seul peut transformer en but.
C'est ensuite une succession de désertions et d'abandons de poste de la part de Lucas Hernandez et William Saliba, mauvais alignements pour le premier et lâchages du marquage pour le deuxième.
Défaite non contestable, inutile de se cacher derrière les blessures en cours de match ou le poteau de kanté, à ce niveau ne bien jouer qu'une vingtaine de minutes ne suffit pas.
On pourrait aussi évoquer le calendrier, mais on ne serait plus dans le football , mais dans le business .