Pour sa troisième édition, cette épreuve semblait fort intéressante, fini des rencontres amicales, sans enjeu que le prestige, avec 80 changements et dont les choix tactiques ne sont compris que par le sélectionneur.
Une épreuve internationale sous forme de championnat avec montées et descentes, la possibilité d'incorporer des jeunes tout de suite dans le grand bain et des affiches glorieuses.
Seulement, cette compétition tombe mal, fin de saison, saturation, fatigue, implication limitée pour éviter les blessures, bref, on s'est bien ennuyés .
La France avec ses blessés et ses nouveaux trop tendres s’est faite fessée comme jamais.
L'Italie qui avait fait le choix de la relève a été balayée vertement.
L'Allemagne en optant pour ses grosses cylindrées s'en sort , mais en limitant la casse seulement.
La Belgique entre deux générations a ramé.
Trop de football tue le football, après la fin du privilèges des buts inscrits à l'extérieur, qui prolonge les rencontres, on parle d'une coupe du monde tous les deux ans avec 48 pays dans un mini championnat, en conséquence, on assiste à des rencontres ternes, sans jus, avec un nivellement des niveaux entre les équipes fortes qui jouent trop et les équipes dites faibles qui jouent moins ,mais ont plus de gaz.
On n'a pas fini de s'ennuyer.
Une épreuve internationale sous forme de championnat avec montées et descentes, la possibilité d'incorporer des jeunes tout de suite dans le grand bain et des affiches glorieuses.
Seulement, cette compétition tombe mal, fin de saison, saturation, fatigue, implication limitée pour éviter les blessures, bref, on s'est bien ennuyés .
La France avec ses blessés et ses nouveaux trop tendres s’est faite fessée comme jamais.
L'Italie qui avait fait le choix de la relève a été balayée vertement.
L'Allemagne en optant pour ses grosses cylindrées s'en sort , mais en limitant la casse seulement.
La Belgique entre deux générations a ramé.
Trop de football tue le football, après la fin du privilèges des buts inscrits à l'extérieur, qui prolonge les rencontres, on parle d'une coupe du monde tous les deux ans avec 48 pays dans un mini championnat, en conséquence, on assiste à des rencontres ternes, sans jus, avec un nivellement des niveaux entre les équipes fortes qui jouent trop et les équipes dites faibles qui jouent moins ,mais ont plus de gaz.
On n'a pas fini de s'ennuyer.