Après le pétard lancé par Médiapart sur les quotas dans le football français et malgré de nombreux démentis, le cyber journal persiste en lançant carrément une bombe, la retranscription au mot près(sic)d'une conversation lors d'une réunion officielle.
Laurent Blanc: Qu'est-ce qu'il y a actuellement comme grands, costauds, puissants ? Les blacks (...) Je crois qu'il faut recentrer, surtout pour des garçons de 13-14 ans, 12-13 ans, avoir d'autres critères, modifiés avec notre propre culture
(...) Les Espagnols, ils m'ont dit: “Nous, on n'a pas de problème. Nous, des blacks, on n'en a pas”.»
Erick Mombaerts: Est-ce qu'on s'attelle au problème et on limite l'entrée du nombre de gamins qui peuvent changer de
nationalité?
Laurent Blanc: Moi j'y suis tout à fait favorable.
François Blaquart: On peut s'organiser, en non-dit, sur une espèce de quota. Mais il ne faut pas que ce soit dit.
Erick Mombaerts: Donc il faut 30% ? (...) Il y a bien des clubs comme Lyon qui le font dans leur centre de formation.
Francis Smerecki: Je dis: première chose, c'est discriminatoire.
De cette conversation d'un passé qu'on pensait révolu, seul Smerecki semble avoir gardé de la lucidité.
Médiapart promet de nouvelles révélations pour les jours à venir, a-t-on vraiment envie de les lire ?
Laurent Blanc: Qu'est-ce qu'il y a actuellement comme grands, costauds, puissants ? Les blacks (...) Je crois qu'il faut recentrer, surtout pour des garçons de 13-14 ans, 12-13 ans, avoir d'autres critères, modifiés avec notre propre culture
(...) Les Espagnols, ils m'ont dit: “Nous, on n'a pas de problème. Nous, des blacks, on n'en a pas”.»
Erick Mombaerts: Est-ce qu'on s'attelle au problème et on limite l'entrée du nombre de gamins qui peuvent changer de
nationalité?
Laurent Blanc: Moi j'y suis tout à fait favorable.
François Blaquart: On peut s'organiser, en non-dit, sur une espèce de quota. Mais il ne faut pas que ce soit dit.
Erick Mombaerts: Donc il faut 30% ? (...) Il y a bien des clubs comme Lyon qui le font dans leur centre de formation.
Francis Smerecki: Je dis: première chose, c'est discriminatoire.
De cette conversation d'un passé qu'on pensait révolu, seul Smerecki semble avoir gardé de la lucidité.
Médiapart promet de nouvelles révélations pour les jours à venir, a-t-on vraiment envie de les lire ?