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« On a mis l’accent sur la protection des joueurs, indique Layec. On veut être très fermes sur les gestes qui mettent en danger l’intégrité physique. On va également essayer d’avoir une capacité de maîtrise plus importante par rapport aux cartons distribués. La saison dernière, les avertissements ont chuté de 4%. On va continuer dans cette logique afin d’éviter ceux qui ne servent parfois pas à grand-chose. » Afin de favoriser le spectacle, les assistants ont également reçu des recommandations concernant les situations de hors-jeu. « Ça se joue parfois à quelques centimètres, explique l’ancien arbitre international. L’œil humain ne pourrait jamais détecter ça. Cette année, on a donné comme consigne à nos assistants de prendre le risque de laisser jouer lorsqu’ils n’ont pas la certitude qu’un joueur est bien hors-jeu. C’est le souhait des acteurs et des spectateurs. »
L’arbitrage à cinq recalé
Outre ces consignes, le corps arbitral tentera également de renouer le dialogue avec les joueurs et les dirigeants de club. Un protocole a été mis en place en ce sens. « On est dans une volonté de rapprochement auprès des acteurs du jeu, assure Layec. Avant, pendant et après les rencontres, on va tenter de débattre sur les points qui restent en suspens. Je ne veux plus qu’un entraîneur quitte le stade en ayant un sentiment d’injustice sans avoir eu une explication. » Après avoir testé l’arbitrage à cinq l’an passé en Coupe de la Ligue, l’idée a été mise de côté cette saison. « C’est compliqué à mettre en place, justifie Layec. Dans un premier temps, ça sera le cas uniquement pour les grandes compétitions internationales. »
« On a mis l’accent sur la protection des joueurs, indique Layec. On veut être très fermes sur les gestes qui mettent en danger l’intégrité physique. On va également essayer d’avoir une capacité de maîtrise plus importante par rapport aux cartons distribués. La saison dernière, les avertissements ont chuté de 4%. On va continuer dans cette logique afin d’éviter ceux qui ne servent parfois pas à grand-chose. » Afin de favoriser le spectacle, les assistants ont également reçu des recommandations concernant les situations de hors-jeu. « Ça se joue parfois à quelques centimètres, explique l’ancien arbitre international. L’œil humain ne pourrait jamais détecter ça. Cette année, on a donné comme consigne à nos assistants de prendre le risque de laisser jouer lorsqu’ils n’ont pas la certitude qu’un joueur est bien hors-jeu. C’est le souhait des acteurs et des spectateurs. »
L’arbitrage à cinq recalé
Outre ces consignes, le corps arbitral tentera également de renouer le dialogue avec les joueurs et les dirigeants de club. Un protocole a été mis en place en ce sens. « On est dans une volonté de rapprochement auprès des acteurs du jeu, assure Layec. Avant, pendant et après les rencontres, on va tenter de débattre sur les points qui restent en suspens. Je ne veux plus qu’un entraîneur quitte le stade en ayant un sentiment d’injustice sans avoir eu une explication. » Après avoir testé l’arbitrage à cinq l’an passé en Coupe de la Ligue, l’idée a été mise de côté cette saison. « C’est compliqué à mettre en place, justifie Layec. Dans un premier temps, ça sera le cas uniquement pour les grandes compétitions internationales. »