Cataclysme au pays du football, David a terrassé Neymar.
Personne n'y croyait, le Brésil joueur, avec la volonté de pousser vers l'avant, se retrouve opposé au rideau de fer croate.
Discipline, sens du sacrifice, envie de se faire mal, ils ont cédé sur une accélération de Neymar en prolongation (106ème), la messe semblait dite, c'était sans compter sur le mental croate qui réussi à égaliser tout au bout de la prolongation (117ème) grâce à un Bruno Petkovic, qui a su se démarquer d'une défense jaune naïve, pensant sûrement que c'était fait.
C'est le mental qui a manqué à ce Brésil séduisant, qui a douté quand les croates ont commencé à monopoliser la balle, qui a douté quand il a fallu égaliser après le premier tir au but réussi de Vlasic, ils font un bon match (qui fut équilibré), ils font une bonne séance de tirs au but, mais la souris a dévoré le chat.
On a le droit d'aimer ou de détester ce genre de rencontres en forme de parties d'échecs, mais on ne peut qu'être admiratif de cette débauche d'énergie, de ce sens du sacrifice, de cette idée de croire que tout n'est pas fini, c'est la magie du football.
Les deux finalistes 2018 sont en quart de finale ,dont un en demie.
Au revoir, messieurs les brésiliens.
Personne n'y croyait, le Brésil joueur, avec la volonté de pousser vers l'avant, se retrouve opposé au rideau de fer croate.
Discipline, sens du sacrifice, envie de se faire mal, ils ont cédé sur une accélération de Neymar en prolongation (106ème), la messe semblait dite, c'était sans compter sur le mental croate qui réussi à égaliser tout au bout de la prolongation (117ème) grâce à un Bruno Petkovic, qui a su se démarquer d'une défense jaune naïve, pensant sûrement que c'était fait.
C'est le mental qui a manqué à ce Brésil séduisant, qui a douté quand les croates ont commencé à monopoliser la balle, qui a douté quand il a fallu égaliser après le premier tir au but réussi de Vlasic, ils font un bon match (qui fut équilibré), ils font une bonne séance de tirs au but, mais la souris a dévoré le chat.
On a le droit d'aimer ou de détester ce genre de rencontres en forme de parties d'échecs, mais on ne peut qu'être admiratif de cette débauche d'énergie, de ce sens du sacrifice, de cette idée de croire que tout n'est pas fini, c'est la magie du football.
Les deux finalistes 2018 sont en quart de finale ,dont un en demie.
Au revoir, messieurs les brésiliens.