Au moins Lloris est honnête et dit ce qu'il s'est réellement passé...
Bleus : Lloris a pourri Ménez et enrage contre la taupe
Hugo Lloris revient dans L'Equipe sur l'Euro des Bleus. Le capitaine de l'équipe de France, furieux contre la ou les taupes, s'estime autant fautif que Jérémy Ménez, qu'il avoue même « avoir pourri » pendant le match contre l'Espagne.
L’altercation et les mots à distance entre Hugo Lloris et Jérémy Ménez en fin de match face à l’Espagne ont fait beaucoup parler après l’élimination des Bleus face aux Espagnols. Pour Hugo Lloris, il n’y avait pas de quoi en faire toute une histoire. « Soyons honnête, c’est moi qui lance les hostilités, explique le capitaine des Bleus dans L’Equipe. Sur le terrain, il n’y a pas de sentiment à avoir, on n’a pas le temps de se dire : « s’il te plaît, excuse moi ». Alors on se lance des flèches, mais ça n’empêche pas de se serrer la main et de se respecter à la fin. Je ne veux pas du rôle de gentil dans cette affaire. Je ne sais plus ce que je lui ai dit mais je l’ai pourri, et c’était normal. Je ne sais plus non plus ce qu’il m’a dit, mais cela se passe comme cela dans n’importe quelle équipe. On pourrait en discuter après en prenant le thé, mais pas là, pas dans le feu de l’action. »
Si le gardien de but de l’OL éteint l’incendie autour de son prétendu clash avec l’attaquant du PSG, il ne décolère pas en revanche au sujet de ce qu’il s’est passé dans les vestiaires après la Suède. Non pas en raison de la vive tension qui existait à ce moment-là, mais parce qu’il estime que rien n’aurait dû sortir du vestiaire. Hugo Lloris est furieux contre la ou les taupes qui ont permis aux médias d’ « interpréter » ces faits et d’en « faire perdre de l’énergie » aux joueurs français. « La manière dont toute cette scène a été revélée a malheureusement touché le groupe, déplore l’ancien Niçois. Un truc comme ça doit rester dans le vestiaire. C’est aux joueurs de faire la part des choses et de faire en sorte que cela ne soit pas su immédiatement à l’extérieur. C’est notre vie de groupe, notre vie de vestiaire, ça ne regarde personne. C’est là que tout ça me dérange vraiment, car ce n’est pas la première fois que ça arrive (…) Après, la question est de savoir si c’est volontaire ou pas. On se demande parfois. Celui qui balance ce genre de choses sait que ça va avoir un impact négatif sur l’équipe. »
Bleus : Lloris a pourri Ménez et enrage contre la taupe
Hugo Lloris revient dans L'Equipe sur l'Euro des Bleus. Le capitaine de l'équipe de France, furieux contre la ou les taupes, s'estime autant fautif que Jérémy Ménez, qu'il avoue même « avoir pourri » pendant le match contre l'Espagne.
L’altercation et les mots à distance entre Hugo Lloris et Jérémy Ménez en fin de match face à l’Espagne ont fait beaucoup parler après l’élimination des Bleus face aux Espagnols. Pour Hugo Lloris, il n’y avait pas de quoi en faire toute une histoire. « Soyons honnête, c’est moi qui lance les hostilités, explique le capitaine des Bleus dans L’Equipe. Sur le terrain, il n’y a pas de sentiment à avoir, on n’a pas le temps de se dire : « s’il te plaît, excuse moi ». Alors on se lance des flèches, mais ça n’empêche pas de se serrer la main et de se respecter à la fin. Je ne veux pas du rôle de gentil dans cette affaire. Je ne sais plus ce que je lui ai dit mais je l’ai pourri, et c’était normal. Je ne sais plus non plus ce qu’il m’a dit, mais cela se passe comme cela dans n’importe quelle équipe. On pourrait en discuter après en prenant le thé, mais pas là, pas dans le feu de l’action. »
Si le gardien de but de l’OL éteint l’incendie autour de son prétendu clash avec l’attaquant du PSG, il ne décolère pas en revanche au sujet de ce qu’il s’est passé dans les vestiaires après la Suède. Non pas en raison de la vive tension qui existait à ce moment-là, mais parce qu’il estime que rien n’aurait dû sortir du vestiaire. Hugo Lloris est furieux contre la ou les taupes qui ont permis aux médias d’ « interpréter » ces faits et d’en « faire perdre de l’énergie » aux joueurs français. « La manière dont toute cette scène a été revélée a malheureusement touché le groupe, déplore l’ancien Niçois. Un truc comme ça doit rester dans le vestiaire. C’est aux joueurs de faire la part des choses et de faire en sorte que cela ne soit pas su immédiatement à l’extérieur. C’est notre vie de groupe, notre vie de vestiaire, ça ne regarde personne. C’est là que tout ça me dérange vraiment, car ce n’est pas la première fois que ça arrive (…) Après, la question est de savoir si c’est volontaire ou pas. On se demande parfois. Celui qui balance ce genre de choses sait que ça va avoir un impact négatif sur l’équipe. »