10 minutes ,ce fut la durée de cette finale pour une victoire toulousaine incontestée.
Il y a des jours où ça rigole, où la moindre erreur adverse se termine par un but, où tu voudrais être ailleurs que dans un stade comble face aux caméras de télévision qui filment ta détresse jusqu'à la dernière minute qui semble bien loin.
Bravo à Toulouse qui a pris le match par le bon bout, qui se moquait de l'enjeu , se fiant à son jeu, toujours porté vers l'offensive et qui avait gagné sa rencontre au bout de 30 minutes, en développant de belles actions et de jolies combinaisons.
Un grand coup de chapeau à ces nantais que tout le monde voyait en ligue 2 l'an passé, en difficulté en championnat cette année et qui fait deux finales en deux ans, certes ,ils terminent sur une fessée, mais quand ton entraîneur te dis que la finale ne compte pas , seul le match de Brest est important, il est plus difficile de se motiver.
Même si c'est ennuyeux à mourir, on regrettera l'absence de protocole ,voulu par notre mal-aimé président, mais ce n'étaient que deux clubs qui ne sont rien.
Il y a des jours où ça rigole, où la moindre erreur adverse se termine par un but, où tu voudrais être ailleurs que dans un stade comble face aux caméras de télévision qui filment ta détresse jusqu'à la dernière minute qui semble bien loin.
Bravo à Toulouse qui a pris le match par le bon bout, qui se moquait de l'enjeu , se fiant à son jeu, toujours porté vers l'offensive et qui avait gagné sa rencontre au bout de 30 minutes, en développant de belles actions et de jolies combinaisons.
Un grand coup de chapeau à ces nantais que tout le monde voyait en ligue 2 l'an passé, en difficulté en championnat cette année et qui fait deux finales en deux ans, certes ,ils terminent sur une fessée, mais quand ton entraîneur te dis que la finale ne compte pas , seul le match de Brest est important, il est plus difficile de se motiver.
Même si c'est ennuyeux à mourir, on regrettera l'absence de protocole ,voulu par notre mal-aimé président, mais ce n'étaient que deux clubs qui ne sont rien.